Une montée rythmée mais pas « sport » en 205 GTI préparée. Un apercu du potentiel du véhicule largement sous exploité vu que le conducteur et aussi celui qui y a passé plusieur centaines d’heures…
Vue du cockpit de la 205, les freins sont encore a rôder.
L’autoradio à été « simplifié ». Le volume se règle via la pédale de droite, le « haut parleur » se situe au bout de la ligne (d’échappement).
En retirant le « superflue » on tombe sous les 850 kg. Les plus motivés pourraient aller encore plus loin.
Zoom sur le couvre culasse en carbone « home made » et purement esthétique.
Il reste peu voir plus de place pour un gravillon entre la jante et l’étrier.
Même entre les branches de la jantes et l’étrier il y a eu de place.
La philosophie de la préparation résumé en quelques mots « Dixit Colin CHAPMAN ».
Le train arrière de 309, les durites « avia » et les Bilstein; le trio d’étonnant pour un train arrière a l’origine un peu « baladeur ».
Du fait du train arrière de 309, le flac du pneu vient frôler la face intérieur de l’élargisseur d’aile. C’est juste – juste.
La ligne d’échappement et esthétiquement sobre. Auditivement c’est tout autre chose.